Pour la mélodie, reviens
Avant que l’harmonie ne s’en aille
Le souvenir de notre requiem m’assaille
Et ses mots se lovent entre tes seins.
Trouver sur tes reins la fraîcheur des tombeaux
Comme la dernière extase avant le Paradis
Un happy end qui jamais ne finit
Ou une paranoïa sous acide laissant nos esprits en lambeaux
Mais dans ta bouche jamais ne se glissera la mort
Dans tes veines jamais ne se glisseront les rêves
Notre union est une réalité onirique sans trêve
Faite des entrelacs des restes de nos corps
Brûlés de fièvre et d’amour
Je finis enfin de me mouvoir
De m’étendre sur les questions du soir
En m’impatientant du fixe du jour…
Requiem pour nous même
-
- Messages : 535
- Inscription : ven. 11 mars 2005 23:00
Re: Requiem pour nous même
vraiment très surprenants ces deux versUn happy end qui jamais ne finit
Ou une paranoïa sous acide laissant nos esprits en lambeaux
j'aime celui ciJe finis enfin [...]
De m’étendre sur les questions du soir

-
- Messages : 5
- Inscription : ven. 7 juil. 2006 23:00
Re: Requiem pour nous même
Merci coline...

-
- Messages : 535
- Inscription : ven. 11 mars 2005 23:00
Re: Requiem pour nous même
puis je avoir vos noms, étranges inconnus?
-
- Administrateur du site
- Messages : 2021
- Inscription : lun. 13 déc. 2004 23:00
- Localisation : Grenoble, France
- Contact :
Re: Requiem pour nous même
Soit tu fument des pets soit tu écoutent du métal (c'est un présentiment) et ton avatar est pour toi le reflet d'une pensée qui jamais ne se fixe car d'une idée elle passe à uine autre ans amboutir c'est pour ça que tu as l'impression que ça tourne sans jamais avoir de fin.
Après, peut-être que je suis vraiment fatigué et que je débloque complètement (ce qui me parrait très probable)
Pour le texte, la vision prèsque morbide de la femme est contrastrée par un espoir (latent ?)
Après, peut-être que ...
(Penser à elire le poème après une bonne nuit de sommeil)
Après, peut-être que je suis vraiment fatigué et que je débloque complètement (ce qui me parrait très probable)
Pour le texte, la vision prèsque morbide de la femme est contrastrée par un espoir (latent ?)
Après, peut-être que ...
(Penser à elire le poème après une bonne nuit de sommeil)