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par clement » mar. 26 févr. 2008 19:22
Reprendre le texte phrase par phrase :
Lorsque l'autorité de ceux qui représentent la sagesse, et donc par cela même, sont les garants de la moral et du juste.
Car vu aujourd'hui, mais peut-être est-ce là une réalité, comme d'une sénilité grandissante.
Aux yeux de la jeunesses, ceux-ci sont discrédités.
Car de leur âge avancé, leur descendance pense que leurs paroles sont désuettes.
Ne voit-on pas aujourd'hui les politiques d'un certains âge vouloir s'occuper de « l'insertion des jeunes » par exemple, alors que, par derrière, ceux-ci appliquent des politiques législatives ayant le plus d'impact, en moyenne, mais une moyenne prévisible, sur cette même jeunesse, par moment à la limite de la discrimination car en quantité, moins de directives législatives sont mise en oeuvres pour les pénaliser eux-mêmes. Vous direz : « Pourquoi devrait-on limiter les lois qui touchent majoritairement les jeunes, si ceux-ci sont plus fautifs ? » On peut penser, même si ceci n'est pas fait consciemment, je ne peux juger sur ce point, qu'un des but est de soumettre la jeunesse pour réaffirmer l'autorité des maîtres, des décideurs, en créant un sentiment de crainte. Plus particulièrement, aujourd'hui, dans le contexte socio-politique de la France d'aujourd'hui, ce ne sont pas tant les jeunes dont je parlais précédemment, mais les « jeunes des quartiers » et aussi les personnes susceptibles d'être déviante, selon les critère de ce même contexte, du point de vu de la consommation de drogue, c'est à dire abus d'alcool, consommation de toute autre drogue, excepter le tabac, qui aujourd'hui sont visées.
Ces personnes visées sont déviant vis à vis de certains critères jugés « primordiales » dans ce même contexte.
Ceux-ci, en tant que marginales, au sens large du terme, ne pense plus que les lois de cette société sont adaptés à leur besoin, c'est pourquoi ceux-ci préfère les transgresser, généralement ceci à pour but la recherche d'une compensation, on peut trouver l'exemple flagrant et évident des drogues.
Ils ne voit plus le bien fonder des lois qu'ils transgressent car pour eux, elles sont le reflet d'un consensus pour arriver à un idéal, par exemple la réussite sociale, dont ils ne veulent pas, pour différentes raisons, à mon avis trop longues à expliciter, mais je pourrais y revenir ultérieurement au besoin du lecteur. Cet idéal n'est d'une par, pas le leur, d'autre par ils ne se sentent pas libre, tout du moins pas assez, s'ils appliquaient rigoureusement toutes les lois de la société à laquelle ils appartiennent.
J'ai fait une confusion entre les pères et les maître au début, celle-ci pourra être explicité en cas de désaccord. N'a-t-on pas l'impression, nous les jeunes, que les politiques s'occupent, dans le fond, pas dans la forme, c'est dire le discourt, de personnes d'un certain âge.
Phrase non applicable aujourd'hui, tout du moins, je n'ai pas de remarque allant dans le fond à faire.